TheSuicide Squad, directed by James Gunn, is an R-rated blast of a movie, and, of course, has a post-credits scene to tease the future of the franchise. The movie's post-credits scene makes a big reveal: Peacemaker is alive, and two members of Amanda Waller's team need him. Here's what that could mean for the future of the DC Extended Universe. Science-fiction Action Crime DC Comics Suicide Squad est diffusé ce soir à 21h15 sur TMC. Avant The Suicide Squad, il y a eu Suicide Squad, réalisé par David Ayer. Un succès en salles, mais une douleur encore vive. Personne n'a oublié les bandes-annonces cool et colorées au rythme de Bohemian Rhapsody de Queen, qui laissaient augurer d'un spectacle résolument drôle, énervé et vif. Et personne n'a oublié la terrible déception collective face Suicide Squad en 2016. Malgré son succès certain en salles plus de 746 millions tout de même, le film réalisé par David Ayer est devenu synonyme de vaste plaisanterie depuis, de sa production infernale à sa suite sous forme de quasi-reboot qui s'appelle simplement The Suicide Squad. Alors que le réalisateur rêve d'embrayer sur le Snyder Cut de son collègue pour offrir son Ayer Cut, la rédaction a eu la folie de se pencher une nouvelle fois sur la Suicide Squad menée par Will Smith, Margot Robbie, Joel Kinnaman, Jay Hernandez, Karen Fukuhara ou encore Jared Leto. Spoiler mieux vaut aller revoir le film de James Gunn, parce que c'est toujours aussi mauvais, et on résume ça en 10 raisons. LA NARRATION Dès le démarrage, Suicide Squad se tire une balle dans le pied avec son introduction. En voulant présenter ses personnages un à un à travers une série de clips désincarnés qui aimeraient titiller le style de Guy Ritchie sans une once d’idées pour au moins le singer, le long-métrage commence d’une manière ultra-poussive. Et si cela ne durait que quelques minutes, le mal pourrait s’estomper rapidement mais le problème, c’est que cette introduction s’étire sur plus d’une demi-heure. Un quart du film voire plus sert donc à présenter Harley Quinn, puis Deadshot, puis Waller puis l’escouade… sans véritable liant. Une présentation d’autant plus déconcertante que le film se décide à jongler entre temps présent et flashbacks sans aucune logique narrative. Pire, le film décide aussi de présenter les antagonistes voire l’entourage des personnages à travers quelques vignettes aussi fades qu’inutiles. De fait, le récit ne fait qu’effleurer chaque membre de l’équipe, sans jamais réussir à leur donner du relief et après cette grosse demi-heure, Suicide Squad commence sans qu’on ait l’impression de connaître qui que ce soit, ni même les véritables enjeux du film on parle du scénario en dessous. Une équipe de bras cassés Le film subira son introduction tout au long du film puisqu’évidemment, les personnages ayant eu le droit à une présentation "riche" seront ceux au centre quand les plus éclipsés seront les plus vulnérables Slipknot sérieux. C’est d’autant plus dommage que certains personnages au fort potentiel sont complètement abandonnés en cours de route Katana méritait sûrement mieux quand d’autres parasitent le récit et n’ont aucune valeur ajoutée vous aussi vous avez pensé au Joker en lisant parasite ?. Le suspense est donc au point mort et le montage foutraque de l’ensemble ne permet jamais au récit de prendre de l’ampleur. Le montage complètement taré avec cette bande-son incessante réussit même l’exploit de ne jamais dynamiter une intrigue qui fait du surplace. À force d’aller-retours entre flashbacks et présents, antagoniste et anti-héros… l’histoire stagne pour se conclure sur un climax d’une médiocrité ahurissante c’est quoi ce sacrifice de Diablo ? C’est quoi cette résolution simplette ?. Et ce n’est évidemment pas l’envie de lier Suicide Squad au DCEU et donc à Batman qui vient alléger un récit trop bordélique pour son propre bien. La scène post-générique où Bruce Wayne confronte Amanda Waller et tease un possible affrontement entre la Suicide Squad et la Justice League est superflue et était surtout prématurée. À l’époque, la JL n’était toujours pas formée et le film toujours en tournage. Des années plus tard, impossible de ne pas y voir un gros plantage et une précipitation rapidement sanctionnée. Hésitation à activer la puce explosive dans la tête de Ecran Large TOUTE L'HISTOIRE Résumer Suicide Squad est la vraie mission suicide. Suite au bordel post-Man of Steel et Batman v Superman, la très vener Amanda Waller lance la Task Force X, avec un principe pas du tout infaillible prendre des criminels aux pouvoirs extraordinaires, leur implanter une puce pour les forcer à obéir, et les envoyer dans les pires missions afin de sauver l'humanité si besoin. Amanda a tellement la confiance qu'elle a aussi pris le contrôle de l'Enchanteresse, un être surpuissant dont elle garde le coeur dans une jolie valise. Si l'Enchanteresse est méchante, elle joue à la poupée vaudou avec pour la calmer. À la surprise de personne, l'Enchanteresse s'échappe, récupère son frère enfermé dans un bocal, et créé une armée de zombies dans la ville. L'équipe de choc est donc envoyée sur place, pour sauver le monde. Sauf que non c'était juste pour sauver Waller, piégée dans un immeuble, et tellement vener qu'elle abat des membres du FBI pour le montrer. C'était sans compter sur le Joker, sorti de ses flashbacks pour venir récupérer Harley Quinn. Waller la récupère à son tour, avant d'être elle-même récupérée par l'Enchanteresse. Le Squad va la sauver, parce qu'ils sont entre temps devenues meilleurs amies pour la vie, et ça, ça n'a pas de prix sauf la vie de quelques collègues, comme cet abruti de dieu aztèque qui maîtrise le feu, mais meurt dans un feu. Viola Davis, Amanda Waller même joie de vivre Le scénario de Suicide Squad est donc légèrement bordélique, à la fois simple dans le fond et inutilement compliqué dans les articulations, la faute à ces multiples plusieurs couches superposées. Et une grande question autour de ce pseudo-twist sur le sauvetage d'Amanda, qui constitue un point bizarroïde dans l'intrigue, et modifie la hauteur des enjeux. Un peu comme si le réalisateur et scénariste David Ayer n'avait pas voulu ou pas pu assumer le cheminement simple, pur et efficace de sa bande d'un point A à un point B, et avait rajouté ces étapes lourdingues pour cocher des cases - une surprise par ci, une révélation par là, une fausse mort entre les deux. Ce qui paradoxalement ramène constamment le film vers les sentiers battus des mauvais clichés hollywoodiens. Au final, tout ça reste profondément basique, mais avec tellement d'artifices pour le masquer que Suicide Squad devient particulièrement ridicule et longuet. Miss poubelle 2016 WILL SMITH SHOW À quel moment c'est parti en vrille ? Dès le casting de Will Smith en Deadshot ? Ou lorsque Warner a imposé des reshoots, et détricoté et remonté le film ? Une chose est sûre le personnage de l'assassin a phagocyté Suicide Squad, en prenant tellement d'espace que le film semble d'abord être le sien c'est d'ailleurs le premier à apparaître, avant d'être celui de l'équipe. Soit un gros problème vu le titre et l'histoire. Il n'est pas le seul Harley Quinn a elle aussi une place au premier plan, et Deadshot et elle ont tous les deux droit à une pré-intro lourdingue pour en attester. Sauf que le personnage incarné par Margot Robbie existe pleinement dans l'univers DC avec le Joker, là où la présence exagérée de Floyd Lawton est justifiée via ses problèmes de papa contrarié, qui existent jusqu'au climax. Ce que personne n'a envie de voir dans Suicide Squad. Alors que l'aventure est celle d'une bande d'anti-héros, dont l'alliance de fortune est A COMPLETER, Deadshot tire constamment la couverture à lui, comme si deux films coexistaient et se bouffaient sans cesse. Ali c'est fini Ego-trip de Will Smith qui avait refusé Independence Day Resurgence pour ça ? Bête manœuvre du studio pour miser sur le visage le plus connu de l'équipe ? Ou un peu des deux ? Peu importe. Le résultat est sans appel, et Deadshot est l'un des gros points faibles d'un film profondément bancal. Preuve que tout le monde est d'accord le projet de film solo sur Deadshot a depuis été discrètement mis sous le tapis, Will Smith a trouvé une raison officielle d'agenda pour ne pas revenir dans la suite ou garder la face s'il n'a pas été réinvité, et plus aucun mot sur une réapparition du personnage. Fini les Bad Boys, maintenant c'est Bad Girls LE JOKER DE JARED LETO Osons une prise de position que toute la rédaction ne validera pas le Joker-gangsta, ce n'était pas une si mauvaise idée. Les premières images du personnage dévoilées sur internet ont provoqué toutes sortes de réactions. Pourtant, son look ignorait intelligemment le spectre d'Heath Ledger tout en s'accordant aux obsessions du cinéaste. Ayer a toujours mis en scène des caïds autoproclamés, dans End of Watch ou même dans Fury. Et quoi de plus logique que la redoutable intelligence du clown lui confère une place dans ce monde de crapule... et le style qui va avec ? Mais qu'on partage ou pas cette analyse, quoi qu'on pense de cette interprétation ou de Jared Leto, choisi sur le tard selon lui, il faut reconnaître qu'il est peut-être l'élément le plus mutilé du long-métrage, ce qui n'est pas peu dire. Bien sûr, personne ne peut vraiment connaître la teneur exacte des rushs amputés, parfois entrevus dans les anachroniques premières bandes-annonces. Il est évident que la terreur de Gotham devait avoir de l'importance lors de ce climax bâclé, prenant place après son absurde disparition. Lors d'un entretien à la BBC Radio 5, le comédien a expliqué qu'il avait tourné assez de scènes pour remplir un film entier. Quand tu regardes le montage final Probablement sacrifié sur l'autel du classement PG-13, son Joker n'apparaît que très peu. Bien qu'Ayer lui-même ait reconnu qu'il est difficile de juger sa performance, le personnage s'intègre si maladroitement à l'intrigue, et même au montage, qu'il en devient comique. Il faut voir la fascination qu'il a pour Harley, assez proche du schéma classique du héros hollywoodien, ou même toutes les séquences où il est censé laisser apparaître sa folie, beaucoup trop sommaires et montées au bazooka. La fameuse séquence des électrochocs, a priori révélatrice des instincts destructeurs qui l'habitent, sur-découpent ses mimiques, vont jusqu'à les camoufler d'un filtre néon scandaleux. Et la méchanceté qu'il devrait véhiculer s'évapore, alors qu'on le voit gesticuler, comme pour illustrer le "deranged" qui trône sur son front. Sa disparition dans le dernier acte, traduisant le mépris porté à son égard, achève cette impression de rendez-vous manqué. Que cette version originale du bad guy soit intéressante ou foirée, on aurait franchement aimé la découvrir. Les reshoots, allégorie LA SUICIDE SQUAD Le défi d'un film Suicide Squad, c'est non seulement l'identification à une véritable bande de méchants, mais aussi la caractérisation d'une pluralité de personnages. Le format papier autorise bien des digressions que 2h de métrage ne peuvent se permettre. Le film choral absolu est un fantasme inatteignable pour peu qu'on doive céder aux conventions hollywoodiennes, certes, mais rarement on se sera autant planté à essayer de l'atteindre. Tout entier articulé autour de la rédemption ronflante de Will Smith... enfin Deadshot, Suicide Squad réduit la majorité de ses protagonistes à un tas de gimmicks éculés. Passons sur les personnages-fonction risibles, invités à l'arrache pour faire vaguement avancer l'intrigue RIP Slipknot, tes trois mots et ton envolée vers la liberté ou sur ceux si grossièrement destitués de leur arc narratif qu'ils se contentent de se balader en arrière-plan Katana, la figurante maudite. Hormis Deadshot et la lourdeur de son écriture, les plus éminents membres de l'escouade sont en fait parfaitement inutiles. Marcher au ralenti n'y changera rien Boomerang est un vieux redneck alcoolique faisant office de contrepoint comique, Killer Croc prononce moins de mots qu'il n'a de neurones et ne montre jamais sa vraie puissance, Diablo hérite d'une backstory digne d'une telenovelas et meurt... brûlé. Quant à Harley Quinn, elle se contente de se languir d'un prince charmant du crime. En attendant sa venue... décevante, elle pète des vitrines, dit des gros mots et se répand en sous-entendus sexuels. L'apogée du blasphème pour ses fans est atteint lors du climax, lorsqu'elle se rêve... une vie de famille avec le Joker. La folie, c'est plus ce que c'était. Difficile de s'identifier à cette bande de zombies dépossédés de leur personnalité, ou même de leurs habiletés les plus intéressantes. Les membres de la Suicide Squad sont de faux méchants, des anarchistes en carton et de vrais garants de la morale américaine, voués à se racheter une conduite aux yeux d'un public... qui voulait les voir bafouer les règles. Comme James Gunn l'a prouvé, il est possible de traquer l'humanité de salauds sans pour autant les absoudre de leurs péchés. Ayer et/ou Warner n'étaient pas au courant. Pas notre tasse de thé, cette interprétation L'HUMOUR Avec Zack Snyder à la tête des deux premiers films du DCEU Man of Steel et BvS, Warner mettait en place un univers super-héroïque très sombre et grave. Une tonalité qui a largement été pointée du doigt par une bonne partie du public attendant sûrement une ambiance plus proche du MCU et de sa cool-attitude. Ni une ni deux, le public c’est la thune et donc le moyen de prolonger l’univers. Alors que Suicide Squad était parti pour être très sombre, le film est donc parti en reshoots ce qui n’a rien d’inhabituel à Hollywood et n’est pas forcément mauvais signe afin d’agrémenter le film de répliques plus mordantes et ironiques entre les personnages, car en réalité le film comporte peu de blagues » affirmait une source proche de la production en avril 2016. Concours de kékettes Un choix scénaristique discutable, mais qui aurait pu coller à la personnalité du groupe de vilains. Sauf que c’est bien l’un des autres problèmes du film rien ne colle et finalement l’humour est quasi-absent. À moins que les frasques du Joker et son rire débilitant Jared Leto donne tout soient la charnière du piquant annoncé, on se demande ce qu’ont bien pu entrainer les reshoots si ce n’est un désordre plus important que prévu. Peut-être que les grognements de Killer Croc sont censés être drôles ? À moins que ce soit la nonchalance digne d’un collégien en pleine crise d’adolescence de Deadshot ? Ou peut-être le bagout de Captain Boomerang ? Difficile à dire. Une chose est sûre, les saillis supposément comiques ne fonctionnent jamais avec le reste du film et au contraire, viennent un peu plus embarrasser l’ensemble. Certes, il reste Harley Quinn dont l’attitude acidulée vient donner un peu de mordant à l’atmosphère pluvieuse, mais à quel prix ? Le personnage de Margot Robbie est à la fois complètement taré, porté sur la chose et se rêve en mère de famille, révélant une caractérisation sans queue ni tête, à l’image du film schizophrène, jouant toutes les cartes entre ses mains. Dommage qu’elles ne contiennent aucun atout. Killer Croc, le grogneur comique LA MENACE Probablement l’une des pires données de l’équation Suicide Squad. D’abord parce que bien malin qui pourra affirmer qui est le véritable antagoniste du film en milieu de métrage Amanda Waller ? Le Joker ? L’Enchanteresse et son bro ? Les personnalités de la Suicide Squad elles-mêmes ? Warner ? En vérité, même à la fin de Suicide Squad, on ne sait pas vraiment qui l’était et on comprend que c’est un peu tout le monde et du coup, un peu personne aussi. Mais ce qui nous intéresse ici c’est la menace que doivent annihiler l’escouade suicidaire à savoir l’Enchanteresse et Incubus, soit le duo de méchants le moins intéressant de l’univers DC. C’est bien simple, le second n’a absolument aucun intérêt. Propulsé en quelques plans de statuette à gros tas de CGI bien dégueus, il n’est jamais développé et son hyper-puissance sera annihilée par une petite explosion. Aussi fou que ça puisse paraître, il n’y a aucune matière pour parler de lui tant le film ne l’utilise jamais, à part pour péter quelques murs avec ses bras-tentacules et consoler sa sœur quand elle se sent triste dans leur langue mythologique éclatée au sol. Des effets spéciaux plus effrayants que le personnage Sa sœur justement, la fameuse Enchanteresse a la chance d’être incarnée par Cara Delevingne. Chance car l’absence de charisme de l’actrice a permis à l’Enchanteresse d’éviter les foudres de la critique, bien trop occupée à dézinguer la jeune mannequin. Pourtant, la sorcière mérite aussi d’être accablée tant elle ne fait rien à part… attendre l’escouade dans son QG. Ici ou là, elle balance des incantations en levant les bras comme une illuminée sortant d’une réunion de raëlien, mais c’est à peu près tout jusqu’au grand final où elle perd en cinq minutes. Ah si, elle transforme aussi quelques soldats en sbires monstrueux pendant le film, histoire de donner un peu de fil à retordre à la Suicide Squad qui n’en fait qu’une bouchée, vu la débilité des bêtes en question. Bref, si le monde avait besoin d’une équipe de choc pour une telle menace, autant dire qu’il vaut mieux capituler pour l’avenir vu le niveau. Regard méchant activé LE DéCOR MAL UTILISé Sur le papier, c'était amusant suivre la bande de bras cassés pendant une nuit de chaos dans une ville infestée de créatures contrôlées par des vilains. En théorie, il y avait là une formule différente des autres films du genre, et une unité de temps et d'espace qui change des voyages et ellipses à tout-va. Avec beaucoup vraiment beaucoup d'espoir, il y avait peut-être même la possibilité d'y trouver un hommage à New-York 1997 de John Carpenter, avec un groupe de bad boys et girls foulant le goudron d'un centre-ville transformé en zone de guerre. Que nenni. Après environ 50 minutes de présentation et mise en place, l'équipe arrive à Midway City, et David Ayer n'en fait à peu près rien. Suicide Squad se résume vite à quelques parkings et rues sombres, des vitrines bien éclairées et quelques carcasses de voiture en feu. Difficile de sentir une vraie déambulation ou évolution dans l'espace urbain, qui est pourtant un espace de jeu entier, sans figurant ni rien pour gêner. En extérieur, la mise en scène se repose sur le repère de la tour magique entourée d'éclairs et autres babioles fantaisistes pour construire l'espace. Et surtout, David Ayer enferme vite ses anti-héros dans des intérieurs passablement inintéressants à l'image - un immeuble de bureaux, un bar, ou une station de métro où l'Enchanteresse a élu domicile pour lancer son club. Bilan Suicide Squad ressemble à un énième film urbain. "C'est vraiment un gros tas de merde" L'ACTION CHEAP C'était précisément la raison de l'embauche de David Ayer. Cinéaste urbain remarqué grâce à Bad Times puis End of Watch, il avait semblé sur le point de transformer l'essai avec Fury. Autant de films bourrés d'action, à la pyrotechnie complexe, qui laissaient espérer que le cinéaste soit idéalement placé pour emballer ce simili-film de commando, où nos anti-héros devaient affronter des hordes d'adversaires dans un Midway City transformé en zone de guerre. Malheureusement, la gestion des scènes d'action est probablement le point le plus embarrassant de Suicide Squad. Qu'il s'agisse d'une méconnaissance générale du matériau de base, d'une production oscillant entre exigences du PG-13 l'équivalent de notre interdiction aux moins de 12 ans, de remontages intempestifs ou d'une absence globale de vision, tout porte à croire que les raisons du désastre sont multiples, et minent absolument toutes les scènes de baston. Si absolument toutes sont ratées, aucune ne symbolise mieux cette catastrophe que la première échauffourée opposant les personnages aux vilains figurants recouverts de goudron. "Allez viens, on se casse !" On est premièrement frappé par la non-gestion du décor. Totalement générique, impossible à appréhender dans sa géographie, il n'a rien de particulièrement cinégénique ou marquant. La caméra en fait si peu de cas, qu'il est impossible de situer précisément en son sein les protagonistes... mais aussi leurs adversaires. Combien sont-ils ? Quel est leur degré de dangerosité ? Autant d'enjeux primordiaux pour donner du poids aux affrontements, totalement déficients ici. Et quand tout ce petit monde commence enfin à se friter, le constat devient plus navrant encore. Non seulement les chorégraphies sont d'une pauvreté embarrassante, mais le montage se contente d'aligner les micro-saynètes où gigote chaque membre de la Squad, sans qu'ils interagissent durablement les uns avec les autres. Captain Boomerang, qui use de ses armes distinctives à la manière de couteaux, témoigne de combien personne ne s'est inquiété de ce qui était filmé ou de l'intégrité des personnages. Cette séquence, qui devrait être un des moments de gloire de Deadshot est si pauvrement mise en scène qu'on peine à distinguer ce qui le rend franchement supérieur aux militaires qui l'accompagnent, alors qu'absolument tout le monde dégomme du figurant goudronné. Illisible, plate, pauvrement éclairée, privée aussi bien de l'investissement de ses anti-héros que de celui du spectateur, l'action de Suicide Squad est condamnée à tourner au cataclysme. Lendemain de soirée difficile LA BANDE PAS TRÈS ORIGINALE Quelques mois plus tôt, Les Gardiens de la Galaxie a montré combien l'identité d'un film choral pouvait bénéficier d'une bande-son aux petits oignons, celle du film de James Gunn participant carrément à la note d'intention de l'ensemble, voire à sa direction artistique. Et si la volonté de dupliquer l'aura de coolitude du blockbuster Marvel est devenue manifeste au fur et à mesure de la promotion de Suicide Squad, passant progressivement de promesse énervée à délire pop "acidulé", c'est peut-être l'usage de la musique qui en témoigne le mieux. Pour accompagner nos vilains préférés, du monde se bouscule aux portillons, avec entre autres Skrillex, Imagine Dragons, Panic! at the disco, Twenty one pilots, Lil Wayne, Wiz Khalifa ou encore Eminem. De quoi enjailler toute soirée qui se respecte, et emmener les plus vaillants sur le dance floor... mais entre se déhancher dans un état approximatif à la faveur de litrons d'alcool et l'illustration pertinente d'une scène de cinéma, il y a parfois un monde. Michael Jackson, Thriller, 1983 Dans le cas du film qui nous intéresse, c'est carrément une galaxie. Non seulement les morceaux choisis ne forment jamais un tout cohérent, ne pouvant dès lors colorer le long-métrage ou permettre d'unifier ce cauchemardesque foutoir. Plus embarrassant encore ces accompagnements sonores sont systématiquement jetés au visage du spectateur à la manière d'un juke-box aléatoire, et brisent régulièrement l'immersion, comme lors de la première demi-heure, où la musique surgit de manière chaotique, à la faveur d'un mixage sommaire. Tubes mutilés, refrains tronçonnés, illustrations désincarnées... au lieu de démultiplier notre amour pour le film, la musique enfonce le dernier clou de son cercueil. Tout savoir sur Suicide Squad Suicide Squad Will Smith espère toujours la sortie du Ayer Cut Suicide Squad Jared Leto réclame encore le Ayer Cut pour montrer que son Joker était cool Suicide Squad David Ayer partage une nouvelle image du Joker de Jared Leto et c'est affreux Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Unesérie dérivée du film The Suicide Squad, dans laquelle James Gunn et John Cena s’éclatent et le rendent bien aux fans de DC Comics.
Par Le 28 juillet 2021 à 14h53 Vous en avez l'habitude maintenant, on ne se lève pas de son siège à la fin du film, chaque blockbuster tiré de comic books ayant sa scène post-générique. C'est bien le cas du film DC de James Gunn, qui propose encore mieux The Suicide Squad a deux scènes post-générique ! Attention si vous n'avez pas encore vu The Suicide Squad, cet article contient de gros spoilers concernant le déroulement du film, les scènes en question étant la suite de certaines séquences du blockbuster. La première scène mi-générique La première scène à apparaître durant le générique est la plus anecdotique, contrairement à la suivante. On y retrouve Weasel la belette mutante incarnée par Sean Gunn, le frère de James, que l'on avait laissé pour mort sur la rive lors du début de la première mission. Il a semble-t-il survécu, se lève et part en ville. Il n'est donc pas la première victime du scénario du film, mais bien un survivant. La seconde scène post-générique Celle-ci par contre, nous dévoile ce qui pourrait être le futur de la franchise. Car là encore, un personnage que l'on pensait mort Peacemaker. Le personnage incarné par John Cena a bel et bien survécu aux blessures infligées par Bloodsport Idris Elba, nous le retrouvons à son réveil dans un hôpital. Pour rappel, une série Peacemaker débarque sur HBO Max en janvier 2022. Si l'on pense en voyant le film que le show sera un prequel, vous devinez en voyant cette scène post-générique qu'il pourrait également s'agir d'une suite. Désormais, tout est possible, même The Suicide Squad 2, finalement, bien que rien n'ait été annoncé – et puis, encore faudrait-il suffisamment de survivants. The Suicide Squad, actuellement au cinéma. À lire aussi

Commetous les films de super-héros ou presque, "The Suicide Squad" contient un bonus sous la forme d'une scène post-générique. NEWS - Tournages mardi 6 juillet 2021

Les scènes post-génériques étaient une tradition Marvel au cinéma. Mais, depuis Suicide Squad en 2016, les films DC Comics s'y mettent aussi. Ainsi, Shazam ! le nouveau films DC-Warner Bros, en salles le 5 avril 2019, réservent deux scènes bonus aux spectateurs et spectatrices. Attention, la suite contient des spoilers. Shazam ! a beau avoir de gros défauts de scénario, rythme et effets spéciaux, il apporte une fraîcheur bienvenue dans l'univers précédemment sombre et sérieux du DC Universe. Et si les meilleurs moments du film sont bel et bien dans la bande-annonce, pour une durée totale de cinq minutes, Shazam ! possède quelques bonnes surprises. Des rebondissements qui nous préparent à la suite des aventures de ce super-héros, incarné avec panache par Zachary Levi. D'ailleurs, David F. Sandberg, le réalisateur et Peter Safran, le producteur, ont déclaré qu'ils sont "partants pour la suite de Shazam !" lors d'un entretien pour Comic Book. A-t-on d'ores et déjà des indices dans les deux scènes post-génériques ? Le Docteur Sivana rencontrer Mister Mind Mark Strong incarne le Docteur Sivana Crédit WARNER BROS. ENTERTAINMENT INC / Steve Wilkie/ & c DC Comics Vous avez bien lu. Dans la première scène post-générique, Thaddeus Sivana est en prison. Les murs de sa cellule sont recouverts des sept symboles qui lui ont permis d'ouvrir la porte vers le Rocher de l’Éternité. Il tente de comprendre leurs sens lorsque retentit une voix masculine. Elle lui explique qu'il existe d'autres moyens d'accéder à la magie, et qu'ensemble ils réussiront à mettre la main sur une source de pouvoir bien plus puissante. C'est le ver de terre, vu précédemment dans une cloche de verre dans la cave du Sorcier, qui s'adresse à Docteur Sivana. On devine que "l'insecte" est donc un méchant bien plus puissant que les Sept Pêchés Capitaux. En réalité, il s'agit de Mister Mind. Né dans les comics en 1943, c'est un ver de terre de la planète Vénus qui est un télépathe. Il peut contrôler les esprits et projeter des images mentales à ses victimes. Il est le seul survivant de sa race et apparaît de manière irrégulière dans les comics. Il forme la Monster Society of Evil, première équipe de super-méchants dans les comics DC et ennemis jurés de Shazam. Le Docteur Sivana et Mister Mind dans les comics Crédit DC Comics On peut en déduire que si Shazam 2 a bien lieu, Mister Mind va aider le docteur Sivana à s'échapper de prison pour préparer sa revanche contre Shazam et sa fratrie. Le ver de terre surpuissant pourrait emmener le scientifique dans une autre dimension, à la recherche des créatures, sorciers et sorcières qui formeront ensuite la Monster Society of Evil. Un clin d’œil à Aquaman Pour cette ultime scène bonus, nous retrouvons notre super duo Freddy-Shazam dans un nouveau test de super-pouvoirs. La séquence offre un clin d’œil à Aquaman, puisque Freddy demande à Shazam de vérifier s'il peut "parler aux poissons". Une référence à la réplique de Bruce Wayne dans Justice League. Lorsqu'il rencontre Arthur Curry pour la première fois, il lui déclare "On m'a dit que tu peux parler aux poissons". Dans Aquaman, deux garçons de l'école du jeune Arthur se moquent aussi de lui lorsqu'ils sont à l'aquarium et qu'il s'adresse aux poissons. Shazam essaye alors de communiquer avec un poisson rouge dans un bocal. Il se moque de Freddy, qui porte un t-shirt orné du symbole d'Aquaman, en lui faisant croire qu'il a réellement ce pouvoir. Et lorsque Shazam lui demande l'intérêt d'une telle aptitude, Freddy répond le plus sérieusement du monde "À commander toutes les créatures de l'océan". Exactement comme le fait Aquaman dans son film solo, lors de la bataille finale. Cette scène bonus prouve de nouveau que le tandem Jack Dylan Grazer - Zachary Levi fonctionne à merveille. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
que dans ces "early screenings", le long métrage ne bénéficie pas de scène post-générique, mais que cela pourrait changer pour la sortie en salles. Le long métrage Suicide
AccueilSériesSéries TV les plus populairesSéries ComédiePeacemaker Actualité de la série Peacemaker Peacemaker Saisons et Episodes Casting News Vidéos Critiques Diffusion TV VOD Blu-Ray, DVD Récompenses Musique Photos Secrets de tournage Séries similaires Audiences Toutes les news sur la série "Peacemaker" NEWS - Tournagesmercredi 4 mai 2022Suicide Squad une bonne nouvelle inespérée pour les fans d’Amanda Waller NEWS - Films à la TVmardi 15 mars 2022Suicide Squad un 3ème film est-il prévu ?Diffusé sur TMC ce lundi 21 mars, "Suicide Squad" a eu droit à une suite aux allures de reboot en 2021 grâce à James Gunn.… NEWS - Séries à la TVlundi 29 août 2022Toutes les séries annulées et renouvelées en 2022 en streaming et à la télévision"Euphoria", "Grey's Anatomy", "Reacher"... Vos séries préférées reviendront-elles pour de nouvelles saisons ? Retrouvez… NEWS - Streamingmardi 25 janvier 2022Chewbacca a-t-il des dents dans le popotin ? Cette rumeur qui agite les réseaux sociauxUne scène de la série DC Comics "Peacemaker" a mis le feu aux réseaux sociaux américains ce week-end, en laissant planer… NEWS - Streamingmercredi 2 février 2022Peacemaker déjà le meilleur générique de l'année pour la série de super-héros ?La série de super-héros "Peacemaker", dérivée de "The Suicide Squad" et portée par John Cena, est devenue la mieux notée… NEWS - Streamingmardi 18 janvier 2022C'est l’une des meilleures séries de super-héros... et elle est indisponible en France !Indisponible en France, la série DC Comics "Peacemaker" spin-off du film "The Suicide Squad" a reçu un bel accueil des… NEWS - Streamingvendredi 3 décembre 2021John Cena dans Peacemaker le super-vilain de DC Comics en roue libre dans la dernière bande-annonceLa série DC Comics "Peacemaker" avec John Cena, attendue pour le mois de janvier prochain sur HBO Max aux États-Unis, a… NEWS - Vu sur le weblundi 18 octobre 2021DC Fandome 21 le résumé des infos à retenir, de Batman à FlashVous avez raté le DC Fandome 2021 qui s’est tenu le 16 octobre dernier ? Pas de panique, Allociné vous offre un petit résumé… NEWS - Streamingsamedi 16 octobre 2021La suite de Suicide Squad ? C’est la série Peacemaker ! Découvrez la bande-annonce fun et explosive C’est lors de l’évent DC FanDome que James Gunn et son équipe mené par John Cena ont dévoilé la première bande-annonce de… NEWS - Tournagesvendredi 3 décembre 2021Peacemaker sur HBO Max une première image de la série DC Comics avec John CenaLe réalisateur James Gunn a partagé sur les réseaux sociaux la toute première image officielle de la série "Peacemaker",… NEWS - Séries à la TVmercredi 11 août 2021The Suicide Squad tout ce que l'on sait de la série Peacemaker avec John CenaVous avez aimé le personnage de Peacemaker joué par John Cena dans The Suicide Squad ? Bonne nouvelle, vous le retrouverez… NEWS - Sorties cinémercredi 28 juillet 2021Après The Suicide Squad les prochains films DC, de The Batman à The Flash"The Batman", "The Flash", les suites de "Shazam !" et "Aquaman" ou encore "Black Adam" avec Dwayne Johnson suivez le… NEWS - Sorties cinélundi 26 juillet 2021The Suicide Squad qu'annonce la scène post-générique ?Comme tous les films de super-héros ou presque, "The Suicide Squad" contient un bonus sous la forme d'une scène post-générique.… NEWS - Tournagesmardi 6 juillet 2021Peacemaker le super-héros DC Comics "n’est pas un mec bien" selon James GunnDans un entretien accordé à Empire, le réalisateur James Gunn a livré quelques détails sur la série DC Comics "Peacemaker",… NEWS - Festivalsjeudi 29 avril 2021DC FanDome une 2ème édition pour la convention virtuelle 100% DCAprès le succès de la première édition, en août dernier, la convention virtuelle DC FanDome sera de retour pour passer la… NEWS - Tournagesmardi 6 avril 2021Les Gardiens de la Galaxie 3 tournage en 2021 pour le film MarvelAttendu en 2023 sur les écrans mondiaux, "Les Gardiens de la Galaxie 3" devrait se tourner dès cette année selon James Gunn,… NEWS - Séries à la TVvendredi 12 février 2021Peacemaker avec John Cena la série DC Comics sera diffusée en janvier 2022La série DC Comics "Peacemaker", spin-off du "The Suicide Squad" avec l'ex-catcheur John Cena, sera diffusée en janvier… NEWS - Vu sur le weblundi 26 octobre 2020The Suicide Squad vers la mort de personnages majeurs ?Attendu le 4 août 2021 sur nos écrans, "The Suicide Squad" sera à la fois une suite et un reboot du film sorti en 2016.… NEWS - Tournagesmercredi 23 septembre 2020The Suicide Squad une série spin-off avec John Cena commandée par HBO MaxLa plate-forme HBO Max a officiellement passé la commande d'une série spin-off au film "The Suicide Squad" consacré au personnage…
Enattendant d’avoir fini d’assembler son équipe pour le tournage de la série Peacemaker, le réalisateur James Gunn retrouve Sylvester Stallone pour un ajout au film The Suicide Squad.Etrangement positionnée dans l’agenda de production (le projet est censé être bouclé depuis un bon moment), cette scène inédite aurait été tournée dans la journée d’hier,
AlloCiné Peacemaker sur HBO Max une première image de la série DC Comics avec John Cena14 sept. 2021 à 1641 Après des études en école de cinéma, il intègre la rédaction d’AlloCiné en 2011. Il est actuellement spécialisé dans les contenus streaming et l’actualité des plateformes SVOD. Le réalisateur James Gunn a partagé sur les réseaux sociaux la toute première image officielle de la série "Peacemaker", spin-off de son film "The Suicide Squad". Warner Bros. / DC Comics L’échec au box-office de son film The Suicide Squad n’a pas entamé l’enthousiasme de James Gunn. Le réalisateur américain a en effet partagé une première image officielle de la série Peacemaker, spin-off de son long métrage DC Comics. First look at the less-than-happy Team Peacemaker in the new issue of EW. DCpeacemaker hbomax — James Gunn JamesGunn September 13, 2021 Centrée sur l’anti-héros incarné par John Cena, la série sera à la fois un prolongement du film mais également l’occasion d’explorer en profondeur le personnage et son univers ; équipé d’un casque à l’allure de cuvette de toilettes, Peacemaker est un décérébré déterminé à apporter la paix, quitte à devoir tuer tout le monde ! Sans trop en dire sur le sort réservé au personnage dans The Suicide Squad, rappelons que Peacemaker apparaît dans la scène post-générique du long métrage ; il est donc possible que la série soit à la fois un prequel du film, mais également une suite. On ignore toutefois si l’échec commercial du film aura un impact ou non sur le renouvellement du show DC Comics, attendu pour le début d’année prochaine sur HBO Max aux Etats-Unis. La série Peacemaker ne dispose pour l’heure d’aucun diffuseur français. Partager cet article The Suicide Squad qu'annonce la scène post-générique ? Peacemaker le super-héros DC Comics "n’est pas un mec bien" selon James Gunn Back to Top
Ms Marvel est enfin sur les écrans, et cette grande fangirl qu'est Kamala Khan se prépare à prendre le monde d'assaut. Après qu'elle ait fait ses devoirs bien sûr. Kamala est une ado ordinaire avec des problèmes d'ado - elle est aimée mais incomprise par sa famille, elle a la tête dans les nuages, et on lui en demande beaucoup trop
Warner Bros a bien des choses à apprendre de Marvel Studios. Spoilers. Vendu comme le petit cousin dégénéré de l’univers DC Comics, Suicide Squad avait toutes les raisons du monde d’être totalement déconnecté du reste de la famille. Surprise, Warner Bros a finalement décidé de l’intégrer pleinement et d’en faire une sorte de film de transition, situé juste entre les événements de Batman v Superman et de Justice League. Le début du long-métrage fait directement suite à la mort de Superman dans BvS et le scénario enchaîne ensuite les clins d’oeil Batman arrête Deadshot à Gotham City, le Chevalier Noir poursuit le Joker et Harley Quinn, et Flash a droit à une très rapide apparition. Assez logiquement donc, une courte scène post-générique a été ajoutée pour teaser Justice League. Notre avis sur Suicide Squad Pas une mauvaise idée en soi, sauf que la séquence en question n’apporte rien. On y voit Amanda Waller qui a miraculeusement survécu au combat final parler dans un restaurant avec Bruce Wayne. Ce dernier négocie un dossier classé top secret qui contient des informations sur Enchantress, Flash et Aquaman. On imagine que Cyborg et les autres méta-humains de la planète y ont également leur petite fiche détaillée. Le boulot était déjà fait À se demander pourquoi Wayne s’embête tant, puisque la clé USB de LexCorp sur laquelle il met la main dans Batman v Superman devait en gros lui offrir les mêmes informations. On aurait aimé un peu de mystère, peut-être un retournement de situation qui offrirait un nouvel éclairage sur l’univers DC Comics au cinéma, voire une aguiche un peu sympathique de Suicide Squad 2. Rien de tout ça ici. La seule ouverture se limite à une phrase de Wayne, qui promet à Waller que si elle ne met pas un terme aux agissements du Squad, Batou et sa petite bande s’en chargeront. Suicide Squad David Ayer réagit aux très mauvaises critiques On est loin de la méthode efficace de Marvel Studios, qui consiste à faire de chaque scène post-générique ou presque un pont vers le prochain film du studio. Sans oublier d’ajouter de l’inédit et une bonne dose de teasing. La construction de la Justice League ayant déjà été totalement éventée par le film précédent et la première vidéo promotionnelle étant déjà sur Internet depuis le Comic Con de San Diego, le boulot était déjà fait. Difficile de comprendre pourquoi cet angle a été choisi. Suicide Squad est dans les salles depuis le 3 août. Bande-annonce
  • Нтуጫደвεցи կεክусл уταπեηէци
  • Θнтож ሑоռи
    • Մотиск խቢθд охицепр
    • Еշοሎጁքу ակαր ци
    • Λኔኾθዡи еդխκиዠիኣխц
  • Յодрոтጁ խጻ
Lesscènes post-génériques étaient une tradition Marvel au cinéma. Mais, depuis Suicide Squad en 2016, les films DC Comics s'y mettent aussi. Ainsi, Shazam ! le nouveau films DC-Warner Bros The following story, obviously, contains spoilers for The Suicide Squad. Do not read any further if you do not want to be spoiled. The Suicide Squad, directed by James Gunn, is an R-rated blast of a movie, and, of course, has a post-credits scene to tease the future of the movie's post-credits scene makes a big reveal Peacemaker is alive, and two members of Amanda Waller's team need what that could mean for the future of the DC Extended a lot of fun to be had in The Suicide Squad, the new sequel/reboot of the Suicide Squad franchise—this time directed by Guardians of the Galaxy maestro James Gunn. While the movie features a number of stars giving excellent performances, including Margot Robbie once again as Harley Quinn, Idris Elba as Bloodsport, and Viola Davis as Amanda Waller, it's John Cena as the brutally violent, chrome-dome-helmeted, Peacemaker who probably gives the movie's most memorable. And after quite the twisty storyline in the movie, he figures prominently into the film's post-credits scene, teeing up something for the scene begins simply enough. Two of Waller's aides, John Economos Steve Agee and Emilia Harcourt Jennifer Holland are walking with a doctor down a hospital corridor. The doctor tells them that someone has survived, found in the rubble, and they really cannot believe he survived. Who could it be? The camera pans through the window and we get our answer Peacemaker, who had not much earlier been shot in the neck by Bloodsport, is still credit Warner and Harcourt continue their discussion. The doctor has apparently been fed some sort of misinformation claiming Peacemaker as a hero he, definitively, is not—he murdered Rick Flag Joel Kinnaman in an attempt to cover up the involvement in Project Starfish. The two aides pick up on what's happened, though. Their boss is getting back at them. "Waller knows we double-crossed her, and she's getting back at us by saddling us with this douchebag," Economos the scene's not over yet. When the doctor asks what they want him for, Harcourt drops the hammer. "Just to save the fucking world, that's all," she says. From there, we cut to uh, what's that all about?This credits scene is great for two main reasons. First and foremost, it's setting up HBO Max's Peacemaker series, which will debut in January 2022. We have no idea yet how, exactly, the clearly very dangerous and clearly out of his mind Peacemaker will help Economos and Harcourt save the world. But it's happening! And he's going to recover and get back up to full credit Warner also exciting because we knew that the Peacemaker series was in production and happening. There was, of course, the possibility that the character would die in The Suicide Squad, and the series would take place entirely before the events of the movie as a prequel. That would be fine, but let's be real—it's always more fun to see a plot progress forward rather than looking back with an outcome that we know from the when that 8-part Peacemaker series written entirely by The Suicide Squad director James Gunn rolls around in January 2022, we'll likely still get all of the origin story character-building that we want and need, but we get to see the future as well. How will this man react after being nearly killed by Bloodsport? Peacemaker was loyal to Amanda Waller, to the point of killing Rick Flag. But will he still be? That remains to be we can't wait to see how it all plays out in the series next credit Hearst OwnedYou Might Also LikeThis Workout Torches Fat in Under 10 MinutesHow to Cool Down After Your Hardest WorkoutsWhat’s the Deal With Intermittent Fasting for Weight Loss?
Selonun nouveau rapport, Black Adam aurait une nouvelle scène post-générique avec des liens supplémentaires avec l’univers DC Published by IT Info on August 10, 2022 Par Le Hollywood Reporter (ouvre dans un nouvel onglet), la scène, qui a été ajoutée lors d’une projection test en juin, introduit”un nouvel élément à la place de Johnson dans l’univers DC”.
Il était très attendu, mais il a déçu. Suicide Squad n'a pas tenu toutes les promesses d'un film frénétique avec des personnages inédits. Pourtant, l'idée de départ avait tout pour conquérir le public une équipe d'anti super-héros pour sauver le monde. Des personnages DC Comics de surcroît, encore jamais vus à l'écran excepté Le Joker. Seulement, les maladresses s'enchaînent un peu trop et le film pourra faire déchanter certains fans. Il n'empêche qu'il arrive habilement à s’insérer dans la chronologie DC Comics/Warner Bros. Attention, spoilers ! Suicide Squad n'a pas dit son dernier mot. Alors que le film est ponctué de déceptions, il tire son épingle du jeu en se raccrochant à des films du même univers. Sans trop en faire. On retrouve ici les éléments de la recette Marvel dévoiler sans tout montrer. Attention, si vous voulez garder le suspense, passez votre chemin. Un synopsis plus fouillé qu'on ne penseLes trailers de Suicide Squad ont beau montrer les meilleurs parties du film, ils restent secrets sur la suite de l'intrigue. Comment et pourquoi cette super-équipe est-elle créée ? On le découvre grâce à Amanda Waller, agent spécial qui travaille secrètement pour la sécurité nationale du pays. Manipulatrice, sans regrets, ni états d'âme, ce personnage permet le premier lien entre Suicide Squad et... Attention, après ce GIF, ce sont des spoilers ! Reprenons. Amanda Waller révèle que Suicide Squad n'est autre que le cross-over de Batman V Superman. Et oui, tout se déroule après la mort de Superman, survenue dans ce dernier. L'heure est donc grave avec Superman disparu, qui peut protéger le pays ? Ni Batman ou Wonder Woman, mais la Task Force X, une équipe de super-vilains. Pourquoi eux ? Parce qu'ils sont plus facilement manipulables que Superman, héros irréprochable. Ils ont des vrais points faibles et il suffit de leur promettre une réduction peine pour les canaliser ou presque. Les hautes instances du pays refusent d'avoir peur des métahumains comme dans Batman V Superman. On choisit maintenant des super-vilains pour garder le pouvoir. Le rôle de Batman court, mais importantAnnoncé au casting, Batman Ben Affleck devait avoir une apparition dans le film. Là encore, la communication DC/Warner était bien verrouillée et on avait aucune idée du rôle du justicier de Gotham. Sachez que c'est lui qui attrape et emprisonne deux membres du Suicide Squad Deadshot et Harley Quinn. Batman est donc de mèche avec Amanda Waller il l'aide à monter son équipe tout en restant fidèle à sa quête contre le crime. Une scène post-générique grisante Ne sortez pas de la salle après la fin du film. Une scène post-générique s'y cache, comme dans un Marvel. Et on boit avidement les paroles d'Amanda Waller qui se trouve en face de Bruce Wayne. Elle lui passe un dossier où on aperçoit les photos de The Flash et Aquaman. Deux membres de la Justice League, attendu en 2017 sur les écrans. C'est plus fin que les cameos auxquels on a eu droit dans Batman V Superman. La jeune femme a donc un rôle dans cette nouvelle équipe et Suicide Squad annonce bien la prochaine importance des métahumains. Cette scène se termine avec une annonce de taille de la part de Bruce Wayne "Si vous ne démantelez pas cette équipe, mes amis et moi devrons nous en charger". Frissons pour certains fans dans la salle avec ce début de synopsis de Justice League la Suicide Squad devrait donc bien être au casting ! Espérons seulement que le film arrivera cette fois à la hauteur des attentes des fans... L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info

Apparemment Black Adam a ajouté une nouvelle scène post-générique dans le film révélant plus de liens entre l'anti-héros de Dwayne Johnson et l'univers plus large de DC. Selon The Hollywood Reporter, Black Adam a eu une projection test en juin, qui comprenait "une nouvelle scène post-générique qui introduit un nouvel élément à la place de

AlloCiné News Cinéma Meilleurs films Films à l'affiche Prochainement Séances Box Office Courts-métrages Tous les films Séries Streaming Trailers DVD VOD Kids DISNEY+ Mon compte Identifiez-vousCréez votre compte News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires Toutes les news sur le film "The Suicide Squad" PrécédenteSuivante123 4 5678910 Voir les dernières news Cinéma Voir les derniers dossiers Cinéma
.
  • 1ptgnva2au.pages.dev/190
  • 1ptgnva2au.pages.dev/138
  • 1ptgnva2au.pages.dev/76
  • 1ptgnva2au.pages.dev/60
  • 1ptgnva2au.pages.dev/459
  • 1ptgnva2au.pages.dev/343
  • 1ptgnva2au.pages.dev/97
  • 1ptgnva2au.pages.dev/114
  • the suicide squad scene post generique